Le blog French Venture and Entrepreneur de Philippe Laferriere présente cet article intéressant sur l’état de l’esprit d’entreprise en Europe. Citant un article de Julie Meyer, PDG de la société de capital-risque Ariadne Capital, dans Silicon.com:
“L'Europe est menacée comme jamais auparavant. C’est… la mondialisation qui oblige l’employeur et le travailleur européens moyens à concurrencer leurs homologues de l’autre côté de la planète. La réglementation de la législation du travail est une mesure palliative. Pour revitaliser l’économie européenne, il faut que l’Européen moyen veuille contribuer à sa croissance. Si nous nous attachons à être des contributeurs nets au système plutôt que des preneurs nets de ce système, nous verrons la différence. ”
$config[code] not foundL'article décrit ensuite les problèmes rencontrés par les entrepreneurs et les petites entreprises en Europe. Ils comprennent la réglementation excessive; peur de l'échec; manque de confiance des propriétaires de petites entreprises dans leurs propres compétences en leadership; réticence des grandes entreprises à tenter leur chance avec des entreprises plus petites; le capital-risque est davantage axé sur «l'art noir» de la conclusion de transactions que sur les marchés et les talents; et les entrepreneurs empruntent la voie de la sécurité pour éviter l’échec au lieu de prendre des risques pour gagner.
L'article décrit l'entrepreneuriat et les petites entreprises en Europe. Mais, pour des lecteurs des États-Unis - et, je suppose, d’autres parties du monde - les questions vont sembler étonnamment familières. Il semblerait que les entrepreneurs et les propriétaires de petites entreprises du monde entier aient plus en commun qu’eux. Dans de nombreux cas, les différences ne sont qu'une question de degré.