Capital de risque souffrant d'un faible rendement du PAPE

Anonim

Si une statistique caractérise les problèmes auxquels le secteur du capital de risque a été confronté au cours des dernières années, c’est le rendement des PAPE - le nombre de premières offres publiques divisé par le nombre d’entreprises financées cinq ans auparavant. Ce chiffre représente la part moyenne du secteur des sociétés du portefeuille qui sortent de la manière la plus lucrative pour les investisseurs.

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Depuis la fin de la bulle Internet en 2001, le nombre d'entreprises financées par capital de risque qui sont entrées en bourse a considérablement diminué. Dans le même temps, les investisseurs en capital de risque investissent dans plus de jeunes entreprises qu’avant. En conséquence, le ratio d'introductions en bourse par rapport aux start-ups financées cinq ans plus tôt a chuté.

Entre 1991 et 2000, les introductions en bourse représentaient 17,7% des entreprises financées par des sociétés de capital-risque cinq ans auparavant. En revanche, entre 2001 et 2010, le nombre d'introductions en bourse financées par capital-risque ne représentait que 1,4% du nombre d'entreprises financées il y a une demi-décennie.

Voici le problème de l’industrie en quelques mots: Si une seule des 71 sociétés de leur portefeuille devient publique, les investisseurs en capital de risque auront du mal à gagner de l'argent.

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