Pour les éditeurs d’applications mobiles, le choix des réseaux de publicité sur lesquels travailler est essentiel pour maximiser le potentiel de revenus. Un rapport, qui vient de paraître de MoPub, une plate-forme de diffusion d’annonces pour les éditeurs d’applications mobiles, révèle des informations qui pourraient aider les éditeurs à générer davantage de revenus grâce à leurs partenariats avec les réseaux publicitaires.
Rapport de partenariat du réseau publicitaire
Le rapport a révélé trois conclusions principales:
$config[code] not foundDes éditeurs plus performants travaillent avec 2 à 5 réseaux d'annonces
Les éditeurs doivent travailler avec le bon nombre de réseaux publicitaires, afin d’équilibrer leurs objectifs de revenus avec la gestion des ressources, indique le rapport. Travailler avec trop peu de revenus limite. Avec trop, les choses peuvent devenir compliquées. Cinquante-trois pour cent des éditeurs travaillent avec deux à cinq réseaux.
«Les éditeurs s’associant à un seul réseau publicitaire peuvent afficher des taux d’utilisation moins élevés, ce qui pourrait réduire leur source de revenus potentielle, tandis que les éditeurs travaillant avec un plus grand nombre de personnes pourraient consacrer du temps et des ressources à la gestion d’une complexité accrue», indique le rapport.
La part du volume total d'impressions publicitaires varie selon les régions
Les trois principaux réseaux publicitaires - AdMob, Millennial et le réseau d'audience Facebook (FAN) - représentent des parts variables du volume total des impressions générées, en fonction de la région, indique le rapport.
Par exemple, les annonces diffusées par le trio représentaient 72% du total des impressions au Moyen-Orient, contre seulement 41% en Amérique du Nord.
«Même si les achats programmatiques continuent de croître, pour de nombreux éditeurs, le partenariat avec les réseaux publicitaires est au cœur de leur stratégie de monétisation», indique le rapport. «Les éditeurs ont tendance à s'associer à différents réseaux publicitaires en fonction de nombreuses variables, notamment la région et le format publicitaire, mais ne disposent pas d'une source précise sur le nombre de réseaux publicitaires avec lesquels travailler et sur la manière de maximiser leurs revenus et leur efficacité.»
Le rapport recommande aux éditeurs qui diffusent des annonces dans des régions où la concentration de trafic est inférieure à celle des autres devraient envisager de travailler avec plus que les trois réseaux les plus importants.
Les éditeurs devraient se concentrer sur les produits publicitaires avec des taux de clics élevés
Etant donné que les annonceurs investissent davantage dans les médias haute performance, les meilleurs CTR se traduisent généralement par une augmentation des revenus, révèle le rapport. Dans ce cas, les formats d'annonce les plus convertis sont les annonces interstitielles et natives.
Les interstitiels sont des publicités plein écran couvrant l'interface de leur application hôte. En règle générale, ils s'affichent lors des transitions dans une application, par exemple entre activités ou lors de la pause entre les niveaux d'une partie.
Les annonces natives suivent la forme et la fonction naturelles de l'expérience utilisateur dans laquelle elles sont placées. Elles sont conçues pour ressembler à du contenu naturel plutôt qu'à de la publicité, telles que ces annonces de Tango.
MoPub, acquis par Twitter en 2013, n'exploite pas de réseau publicitaire mais constitue un échange composé de plus de soixante réseaux de ce type. Les éditeurs d’applications mobiles, tels que Zynga, Ask.fm, Lotum, NewsRepublic et Tango, utilisent la plate-forme de MoPub pour travailler avec les réseaux de leur choix. La plate-forme est conçue pour aider les éditeurs à augmenter la monétisation.
Pour en savoir plus sur les résultats de MoPub, téléchargez le rapport complet.
Smartphone Photo via Shutterstock, autres images: MoPub