Les médecins peuvent pratiquer la médecine seulement s'ils ont une licence. Tout comme le médecin doit respecter certaines normes et attentes pour obtenir une licence, s’il ne continue pas à respecter ces normes et attentes, sa licence médicale peut être suspendue ou révoquée par le conseil de médecine de son état. Le but n'est pas de punir le médecin, mais de protéger le public. L'État accorde à la commission l'autorité en vertu de sa responsabilité de maintenir la santé publique.
$config[code] not foundConseil médical
Chaque État a un comité médical qui a le pouvoir d’accorder ou de refuser d’accorder des licences médicales aux candidats. Lorsque des problèmes sont signalés concernant des médecins agréés, le conseil examinera le cas et décidera si des mesures doivent être prises à l'encontre du médecin, telles qu'un avertissement, la suspension de l'autorisation ou la révocation de l'autorisation.
Les raisons
En général, les médecins peuvent perdre leur licence pour incompétence professionnelle, condamnation pour infraction pénale, négligence grave, mauvaise moralité, immoralité ou inconduite. Si un médecin abuse de l'autorité conférée par sa licence ou exerce une médecine au-delà de celle de sa licence, il perd sa licence. Les motifs de suspension ou de révocation sont définis dans la loi de l'État.
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Apporté à vous par Sapling Apporté à vous par SaplingSpécificité
Les motifs de suspension sont spécifiques à chaque État. Les motifs de suspension ou de révocation doivent être spécifiques. Les tribunaux ont statué que des motifs vagues ou généraux ne suffisent pas pour engager une action contre un médecin, à moins que ces motifs vagues ne s'appuient davantage sur des motifs plus spécifiques. La commission médicale a ensuite une marge de manœuvre pour prendre des décisions au cas par cas.
Défense contre les accusations
Les médecins ont tendance à invoquer le déni de justice, la violation de la clause d’égalité de protection, l’auto-incrimination et des motifs similaires pour se défendre contre des accusations. Les tribunaux ont toutefois conclu que, dans les cas de négligence ou d’incompétence, la responsabilité du conseil de protéger la santé publique constituait une raison plus forte. Tant que le médecin est averti et a la possibilité de se défendre contre les accusations, les tribunaux ont tendance à appuyer la décision du conseil.