Le capital de risque: l'illusion de l'argent facile

Anonim

Je lis le livre de Guy Kawasaki L'art du départ. Pour ceux qui ne le savent pas, Guy Kawasaki est un investisseur en capital-risque et directeur général de Garage Technology Ventures.

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Ceci est un livre accrocheur rempli de connaissances de la rue sur les startups. Il est conçu de manière à ce qu’il soit facile de lire une section ici et là lorsque vous avez le temps.

Dans une partie, il propose des FAQ sur la levée de capitaux pour les startups, avec son esprit brusque:

Q: Si je n’ai pas d’introduction en bourse ou d’acquisition comme stratégie de sortie, pourrai-je un jour attirer des investisseurs? Les investisseurs seraient-ils jamais intéressés à faire leur retour par le biais d'une participation aux bénéfices ou d'un rachat auprès des fondateurs de la société dans cinq à dix ans?

R: Seulement si l'investisseur est votre mère. Si les investisseurs sont des investisseurs professionnels, vous pouvez oublier de collecter des fonds sans vous lancer dans une introduction en bourse ou une acquisition.

Le capital de risque est une illusion inaccessible pour la grande majorité des petites entreprises. La plupart des petites entreprises ne seront jamais du matériel d'offre publique initiale (IPO). Et les entrepreneurs qui sont si émotionnellement attachés à l'entreprise qu'ils ne peuvent supporter l'idée de la vendre devraient oublier le capital de risque.

Conclusion: Guy décrit les principales raisons pour lesquelles la plupart des entreprises ne sont pas de bons candidats au capital de risque. Cela et de petits points mineurs tels que:

(a) la plupart des entreprises n’ont pas de modèle commercial à forte croissance avec une taille de marché potentielle de 500 millions de dollars US, et

(b) la plupart ne peuvent pas montrer au VC qu’il obtiendra un rendement 10x sur leur argent d’ici 5 ans.

La grande majorité des petites entreprises ont des attentes plus modestes. Leur voie vers le succès réside dans l’amorçage et les prêts aux petites entreprises au bon moment. Comme Barry Moltz a souligné ici sur Tendances des petites entreprises, qu’y at-il de mal à avoir une entreprise qui ne dépassera pas 3 millions de dollars?

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